Resume

• 2004

  Doctor of Philosophy (Ph.D.)

  Political Science

• Études américaines

  Élections américaines

  Research

  États-Unis

  Relations Québec-États-Unis

  Science politique

  Politique américaine

  Exorcistes américains : la Heritage Foundation

  la guerre culturelle et la sauvegarde du mariage et des valeurs traditionnelles (par Frédérick Gagnon et Catherine Goulet-Cloutier)

  Lors de son discours à la convention nationale du parti républicain durant les présidentielles américaines de 1992

  le conservateur Pat Buchanan affirmait qu'une « guerre culturelle » fait rage aux États-Unis. Décrit comme un combat pour définir l'identité nationale américaine

  le concept de la guerre culturelle est utilisé ici pour désigner les efforts menés par divers acteurs conservateurs pour protéger les valeurs traditionnelles de la société américaine et « exorciser » celle-ci de ce qu'ils considèrent être des « démons » libéraux et séculiers. Le présent texte se penche sur l'un de ces acteurs : la Heritage Foundation

  un centre de recherche privé (think tank) conservateur situé à Washington D.C. À l'aide d'une analyse de discours post-structuraliste des études produites par trois chercheurs de la Heritage à propos du mariage

  des valeurs familiales et de la sexualité

  ce texte vise à illustrer que ces mêmes chercheurs articulent leurs discours de manière à atteindre un but politique : (1) marginaliser les positions progressistes sur les enjeux susmentionnés ; et (2) discipliner les Américains en les incitant à embrasser une vision traditionnelle/conservatrice de l'identité américaine.

  Exorcistes américains : la Heritage Foundation

  la guerre culturelle et la sauvegarde du mariage et des valeurs traditionnelles (par Frédérick Gagnon et Catherine Goulet-Cloutier)

  Claude Corbo

  «Pourquoi un candidat défait à la présidence des États-Unis est-il voué à une quasi-retraite prématurée et

  du moins

  ne s'impose pas comme un chef de l'opposition et un candidat à l'élection suivante? Qu'est-ce que ce Collège électoral qui complique grandement une élection présidentielle? Pourquoi toutes ces élections primaires en vue de déterminer un candidat? Pourquoi le taux de participation est-il si faible au pays de la démocratie? Pourquoi est-on parfois si peu critique de la personne du président qui peut tout de même être soumis à des procédures de destitution? Les médias américains sont-ils tous vraiment au service du pouvoir? Quel est le sens du fédéralisme américain dans un pays où la plupart des gens n'habitent plus l'État où ils sont nés? À quoi tient la persistance du bipartisme américain? Quelle différence y a-t-il entre les deux Chambres du Congrès? Le président n'est-il qu'une simple marionnette à la disposition de puissants groupes d'intérêt?\n\nLe lecteur trouvera dans les pages de cet ouvrage une multitude de réponses à ces questions. Il n'y trouvera cependant que fort peu de jugements de valeur. Les auteurs de cet ouvrage ont voulu seulement fournir toute la matière nécessaire à ces jugements

  tout particulièrement à ceux qui concernent les avantages et les désavantages du système américain. Ce dernier est comparé fréquemment au système britannique qui est le nôtre

  laissant toujours au lecteur le soin de tirer ses propres conclusions.\n\nLes paradoxes de la puissance américaine ne s'en trouveront sûrement pas tous résolus. On peut tout de même compter que ce livre contribuera à mieux en saisir les multiples dimensions et à mieux comprendre les fascinantes péripéties de la politique américaine.»\n\nLouis Balthazar

  extrait de la préface.

  Les États-Unis d’Amérique : Les institutions politiques (par Claude Corbo et Frédérick Gagnon)

  Quand il s’agit de comprendre pourquoi les États-Unis agissent d’une façon ou d’une autre dans le monde

  les débats sont généralement virulents

  et souvent réducteurs. Les théories peuvent alors être très utiles pour éviter ces dérapages dans la mesure où elles permettent de structurer l’expression des enjeux et des arguments.\n\nConçu comme une introduction générale

  ce livre vise essentiellement trois objectifs :\n★ Offrir un survol complet des théories qui sous-tendent la politique étrangère américaine. Le menu est très riche et chaque collaborateur a eu pour mission d’exposer les théories pertinentes

  de présenter les auteurs principaux et les lectures incontournables.\n★ Offrir une sélection pluraliste de points de vue

  une diversité de théories qui sont à la fine pointe de la recherche et qui sont parmi les plus couramment évoquées.\n★ Proposer une vision panoramique des principales théories dans une langue accessible

  hors de tout jargon.\n\nCharles-Philippe David est professeur de science politique

  coprésident de l’Observatoire sur les États-Unis et titulaire de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques à l’Université du Québec à Montréal. Il est appuyé ici par une équipe d’auteurs reconnus : Donald Abelson

  Sébastien Barthe

  Pierre-Alain Clément

  Barthélémy Courmont

  Frédérick Gagnon

  David Grondin

  Bernard Lemelin

  Karine Prémont

  Tanguy Struye de Swielande

  Julien Tourreille

  Élisabeth Vallet et Gilles Vandal.

  « Théories sur le rôle du Congrès »

  in Charles-Philippe David (dir.)

  Théories de la politique étrangère américaine. Auteurs

  concepts et approches

  Les enjeux de politique intérieure ont davantage retenu l’attention des Américains que les enjeux de politique étrangère depuis l’arrivée de Barack Obama à la Maison-Blanche. Les élections de mi-mandat de novembre 2010 n’y ont rien changé : au lendemain du scrutin

  selon un sondage Gallup

  les dossiers les plus importants aux yeux des Américains étaient l’emploi et le chômage

  l’économie

  les soins de santé

  le déficit de l’Etat fédéral et l’éducation. Dans cette liste

  les seuls enjeux de politique étrangère

  l’immigration et les guerres arrivaient aux 7e et 9e rangs des priorités des Américains. Le Congrès ne s’est pas pour autant désintéressé des relations internationales.

  Obama

  les républicains et le monde après les midterms de 2010

  Numerous scholars have documented Québec-U.S. ties

  but few have studied the electoral connection between Québec and the United States and

  more particularly

  how Québec affects U.S. electoral debates. Studying the 2014 U.S. elections

  this article evaluates the impact of Québec on thirteen congressional

  senatorial

  and gubernatorial races that took place in the four states with which Québec shares a land border. Building on various qualitative data (semi-structured interviews with campaign staffs

  content analysis of local newspaper and television election coverage

  and content analysis of televised electoral debates)

  this article answers the following question: how did Québec affect voter priorities

  interest group mobilization

  media election coverage

  and candidate strategies in these contests? Our main argument is that the literature on Québec-U.S. relations tends to underestimate the impact of Québec on U.S. public debates. Québec was not a priority – or even an issue – in most races accross the United States in 2014

  but it drove crucial electoral discussions in New York

  Vermont

  New Hampshire

  and Maine

  where the close ties with Québec influenced what voters

  interest groups

  the media

  and electoral candidates defined as issues of importance to their districts and states.\n\n(Accepted for publication; to be published in 2016).

  Right Next Door: Québec and the 2014 Electoral Marketplaces of Ideas in New York

  Vermont

  New Hampshire

  and Maine

  Alors que le monde se relève à peine d’une crise économique d’une ampleur sans précédent depuis la Grande Dépression et alors que le leadership de la plus grande superpuissance militaire et économique du monde est remis en cause

  il est particulièrement opportun de chercher à mieux comprendre le fonctionnement du système politique américain. À la fois outil de référence pour les étudiants universitaires et collégiaux et synthèse à l’intention du grand public qui souhaite aller au-delà de la nouvelle immédiate

  cet ouvrage constitue une remise à jour en profondeur des éditions précédentes et comporte plusieurs chapitres nouveaux ou entièrement refondus. Il est divisé en quatre parties : • Les fondements culturels et constitutionnels du système politique américain • Les trois piliers institutionnels de l’État central : les pouvoirs législatif

  exécutif et judiciaire • Les grandes forces et dynamiques qui caractérisent le jeu politique aux États-Unis • Les politiques publiques dans quatre secteurs d’activités : l’économie

  les affaires sociales

  la politique étrangère et la défense \n\nLes chapitres

  écrits par des experts reconnus

  peuvent être consultés indépendamment les uns des autres. Le lecteur y trouvera réponse à bien des questions sur la vie politique complexe de ce pays démesuré. Par-delà les spécificités d’un système politique à bien des égards unique

  notre souhait est que le lecteur puisse tirer quelques leçons universelles de l’étude de cet immense laboratoire politique où la démocratie persiste depuis plus de deux siècles.

  « Les partis politiques » (par Claude Corbo et Frédérick Gagnon) in Michel Fortmann et Pierre Martin (dir.)

  Le système politique américain

  Militante féministe

  Andrea Dworkin a voulu comprendre pourquoi des femmes rejettent le féminisme et n'hésitent pas à se montrer racistes et homophobes. Comment expliquer cet apparent paradoxe? Dans un contexte où les femmes sont subordonnées aux hommes

  les femmes de droite concluent ce qui leur paraît le marché le plus avantageux : en échange de leur conformité aux rôles traditionnels

  la droite leur promet la sécurité

  le respect

  l’amour. Elles font donc le pari qu’il est préférable de prendre le parti du patriarcat plutôt que de combattre ce système dont la violence est trop souvent meurtrière. Mais la droite et l’antiféminisme se fondent sur le mépris des femmes et encouragent l’exploitation de leur sexualité : « ce que font les femmes de droite pour survivre au système de classes de sexe ne signifie pas qu’elles y survivront : si elles sont tuées

  ce sera probablement aux mains de leur mari. » Une réflexion brutale et sans concession

  qui appelle à la révolte féministe.

  « Féminisme et antiféminisme après l’élection « historique » de 2008 : quand l’Amérike échoue au test Dworkin » (postface de Frédérick Gagnon) in Andrea Dworkin

  Les femmes de droite

  Relying on a multilevel approach to the behavior of members of Congress

  this article explains why Arthur Vandenberg

  J. William Fulbright and Jesse Helms were particularly active chairs of the Senate Foreign Relations Committee (SFRC). It draws parallels between their careers and shows that similar factors explain why they were active : a) crucial international events convinced them to play a leading role in the foreign policy debate; b) the U.S. political and social environments created “policy windows” for their activism (Carter and Scott 2009); and c) they possessed the necessary skills

  interests and convictions to play such a role. Our approach also explains why the three chairs displayed different types of activism (Vandenberg relied on legislative and non legislative collaboration with Harry Truman

  Fulbright primarily on non legislative opposition to Lyndon Johnson

  and Helms on legislative and non legislative opposition to Bill Clinton). Furthermore

  the article explains why Fulbright was less successful than Vandenberg and Helms in convincing Congress and the President to adopt key legislations he introduced in the Senate.\n\n(Accepted for publication; to be published in 2016).

  The Most Dynamic Club : Vandenberg

  Fulbright

  Helms and the Activism of the Chairman of the U.S. Senate Foreign Relations Committee

  Many actors—from the president and members of Congress to interest groups

  NGOs

  and the media—compete to shape U.S. foreign policy. The new fifth edition captures this strategic interplay using 15 real-world cases

  of which four are brand new: the death of Osama bin Laden and the use of targeted assassinations

  nonproliferation policy and the U.S.–India nuclear agreement

  the U.S. reaction to Egypt’s collision with the Arab Spring

  and the surprise asylum request of blind Chinese dissident Chen Guangcheng. Fully updated to cover the Obama administration

  all cases have been revised to reflect recent developments. Whether grappling with use-of-force questions

  the international financial crisis

  legal and human rights

  trade issues

  multilateral approaches to the nuclear programs of North Korea and Iran

  or climate change

  Carter’s engaging case study approach encourages students to question motives

  consider alternatives

  and analyze outcomes.

  “The United States versus Terrorism : From the Embassy Bombings in Tanzania and Kenya to the Surge in Afghanistan” (by Frédérick Gagnon and Ryan Hendrickson) in Ralph Carter (ed.)

  Contemporary Cases in U.S. Foreign Policy : From Terrorism to Trade

  Élisabeth Vallet

  Julien Tourreille

  Il y a quinze ans déjà

  le World Trade Center et le Pentagone étaient la cible d'une attaque terroriste dont le monde subit toujours les conséquences. Après avoir lancé la lutte contre Al-qaida et les talibans

  renversé le régime de Saddam Hussein et tué Oussama ben Laden

  les États-Unis restent engagés dans une guerre tous azimuts contre le terrorisme. Les attentats de Charlie Hebdo et du 13 novembre 2015 à Paris

  ou encore ceux d'octobre 2014 à Ottawa et Saint-Jean-sur-Richelieu

  ont par ailleurs incité des pays comme la France et le Canada à en faire plus pour prévenir de tels événements.\n\nQuinze ans après le 11 septembre 2001

  de quelle manière le terrorisme a-t-il évolué dans le monde? Est-il aussi menaçant qu'on le croit? Justifie-t-il de vivre dans un état d'alerte

  d'exception et de guerre permanent?\n\nAvec les contributions de Zoé Barry

  Adib Benchérif

  Andréanne Bissonnette

  Vincent Boucher

  Christophe Cloutier

  Louis Collerette

  Françoise Conea

  Frédérick Gagnon

  William Grenier-Chalifoux

  Josselyn Guillarmou

  Nicolas Pellerin-Roy

  Mylène Repentigny-Corbeil

  Maxime Ricard

  Julien Tourreille et Élisabeth Vallet.

  L’effet 11 septembre 15 ans après (par Frédérick Gagnon

  Élisabeth Vallet

  Julien Tourreille et al.)

  La politique étrangère des États-Unis est le produit d’une pluralité de mécanismes

  d’acteurs et de facteurs. Pourtant

  peu d’études mettent en lumière le rôle de la législature fédérale du pays

  le Congrès

  dans la formulation et la conduite de cette politique. Cet ouvrage est l’un des premiers en langue française à combler en partie ce vide. Il porte sur les activités et l’influence de l’un des personnages les plus importants du Congrès : le président de la Commission du Sénat sur les relations extérieures (CSRE). L’auteur nuance la thèse de la \" présidence impériale \" et l’idée que le président des États-Unis mène la politique étrangère seul et à sa guise. Il étudie en profondeur les activités de trois présidents de la CSRE

  soit Arthur Vandenberg (1947-1949)

  J. William Fulbright (1959-1975) et Jesse Helms (1995-2001)

  et déboulonne le mythe voulant que le président de la CSRE et le Congrès soient devenus des acteurs secondaires dans le domaine de la politique étrangère. Cet ouvrage permet ainsi de mieux comprendre le fonctionnement du Congrès et sa relation avec la Maison-Blanche. Il relate

  en outre

  quelques-uns des plus grands moments de l’histoire de la politique étrangère des États-Unis à partir d’un point de vue peu étudié jusqu’ici

  celui de trois sénateurs dont les actions ont certainement contribué à changer le monde.

  Les sénateurs qui changent le monde. Le président de la commission du Sénat américain sur les relations extérieures et la politique étrangère des États-Unis après 1945

  Aux États-Unis

  l'élaboration de la politique étrangère implique une grande diversité d'acteurs

  génère d'intenses débats et suppose de longs arbitrages. Tendance qui s'est encore amplifiée alors que se terminent les guerres des années 2000 et que se décident celles des années 2010.\n\nCe panorama complet du processus de formulation de la politique étrangère américaine en retrace à la fois l'histoire et la constitution

  la culture

  les approches

  les institutions et les liens avec la société. Les auteurs intègrent les différentes approches de la science politique américaine et des relations internationales

  prenant en compte le droit constitutionnel ou encore la science administrative pour analyser les fondements

  décrire les mécanismes et identifier les acteurs de cette politique. Sont ainsi passées en revue l'influence de la présidence

  des bureaucraties

  du Conseil de sécurité nationale

  du Congrès

  de l'opinion publique et des médias

  sans oublier celle des lobbies et des think tanks.\n\nPour cette troisième édition entièrement remaniée et actualisée

  sans équivalent en langue française

  Charles-Philippe David s'est entouré de sept experts reconnus de la politique extérieure des États-Unis.

  « Le Congrès »

  in Charles-Philippe David (dir.)

  La politique étrangère des États-Unis. Fondements

  acteurs

  formulation

  The year 2012 holds great significance in American politics—apart from the reelection of the first black president in US history

  it also marked the twentieth anniversary of ultraconservative Pat Buchanan’s “culture war” speech at the Republican Party’s national convention in 1992. With Obama having just begun his second term in office

  this very timely volume aims to generate a deeper understanding of US culture wars and their place in the political context of today’s America.\n\n\nAre the culture wars as timely today as they were 20 years ago? Do they continue to define national identity—what American means as a society

  what Americans were in the past

  what they are today

  and what they will become? This volume investigates the culture wars through multiple

  thought-provoking lenses that will both enlighten and challenge your current perceptions on the red versus blue identities of American politics by addressing four key questions: Is a culture war really underway in America?; Is this “war” only between activists and politicians?; Who are the main actors and how do they try to reach their goals?; Have we been witnessing a ceasefire in (or transformation of) America’s culture wars since Obama’s election in 2008?

  Introduction : Ceasefire or New Battle? The Politics of Culture Wars in Obama’s Time

  The year 2012 holds great significance in American politics—apart from the reelection of the first black president in US history

  it also marked the twentieth anniversary of ultraconservative Pat Buchanan’s “culture war” speech at the Republican Party’s national convention in 1992. With Obama having just begun his second term in office

  this very timely volume aims to generate a deeper understanding of US culture wars and their place in the political context of today’s America.\n\n\nAre the culture wars as timely today as they were 20 years ago? Do they continue to define national identity—what American means as a society

  what Americans were in the past

  what they are today

  and what they will become? This volume investigates the culture wars through multiple

  thought-provoking lenses that will both enlighten and challenge your current perceptions on the red versus blue identities of American politics by addressing four key questions: Is a culture war really underway in America?; Is this “war” only between activists and politicians?; Who are the main actors and how do they try to reach their goals?; Have we been witnessing a ceasefire in (or transformation of) America’s culture wars since Obama’s election in 2008?

  Ceasefire or New Battle? The Politics of Culture Wars in Obama’s Time

  Canadian Review of American Studies (edited by Frédérick Gagnon)

  David Grondin

  Alex Macleod

  Dan O'Meara

  While analysts may agree that Hollywood movies have always both mirrored and helped to shape the tenor of their times

  the question remains: Just how do they do it? And how do we identify the underlying political/ideological content of a film?\n\nMovies

  Myth

  and the National Security State answers these questions

  exploring how Hollywood movies have served to propagate

  or to debate

  or sometimes to challenge the evolving US national security state since 1945. Drawing on more than a thousand films—and focusing in detail on 48 films that address key issues confronting the US and its sense of self and role in the world—the authors provide insights into US political life as it has developed across some seven decades.\n\nDan O'Meara and Alex Macleod are professors of international relations at the University of Quebec at Montreal (UQAM). Frédérick Gagnon is associate professor of political science at UQAM. David Grondin is associate professor of American studies and international relations at the University of Ottawa.

  Movies

  Myth

  and the National Security State (by Dan O'Meara

  Alex Macleod

  Frédérick Gagnon

  and David Grondin)

  Cet article démontre que quatre dessins animés satiriques américains

  The Simpsons

  South Park

  American Dad ! et Family Guy

  sont plus que de simples objets de divertissement et contiennent des discours éminemment politiques sur l’immigration non documentée et la construction d’un mur à la frontière des États-Unis et du Mexique. Nous inspirant d’une catégorisation des courants de pensée sur les politiques d’immigration développée par Daniel Tichenor

  nous procédons à l’analyse qualitative de contenu et de discours d’un corpus d’épisodes des dessins animés étudiés pour illustrer comment ils offrent un espace discursif aux principaux courants de pensée sur les enjeux susmentionnés. Nous démontrons aussi que The Simpsons

  American Dad ! et Family Guy contiennent un discours satirique dirigé contre les positions conservatrices et qui valorise les positions progressistes sur ces mêmes enjeux

  mais que South Park n’inclut pas un biais aussi évident pour l’un ou l’autre des courants de pensée sur l’immigration et la construction du mur américano-mexicain.

  “Bienvenue à “Homerica” : Les dessins animés américains et la politique de l’immigration non documentée et du mur à la frontière américano-mexicaine (par Frédérick Gagnon et Julie Dufort)

  Qui sont et que prescrivent les réalistes et les néoréalistes? Comment se distinguent-ils des libéraux et des néolibéraux ? En quoi consiste une analyse marxiste ou néomarxiste de la politique mondiale ? quelle est la contribution des féministes et des postmodernistes ou des constructivistes et des postcolonialistes? Qui sont les empiristes

  les positivistes

  les fondationnalistes et les antifondationnalistes ou encore les tenants de la sociologie historique et de la Théorie critique? Qu'est-ce que l'École anglaise et l'économie politique internationale? Quel est le tournant éthique en Relations Internationales? Où en sont rendues les études sur la sécurité depuis le 11 septembre 2001 ?. Chaque théorie des relations internationales est examinée à travers le prisme d'un même modèle

  accompagnée d'un lexique de concepts clés. Après un bref historique de l'approche traitée sont décortiqué son ontologie (Quels sont les aspects de la politique mondiale que l'approche choisit d'étudier ?)

  son épistémologie( Comment les étudie-t-elle ?) et sa normativité (quelles sont les positions éthiques

  politiques

  sociales

  et idéologiques et quels sont les intérêts

  qui sous-tendent chaque théorie ?). De plus

  l'ouvrage présente 13 lectures théoriques différentes de la guerre en Irak. En guise de conclusion

  le livre propose une grille d'analyse qui permet d'évaluer et de comparer toutes ces approches théoriques souvent fort différentes les des autres

  voire contradictoires

  dont la connaissance est indispensable pour saisir ce qui se pas sur la scène internationale.

  « Le néoconservatisme » (par Frédérick Gagnon et Guillaume Mascotto) in Alex Macleod et Dan O’Meara (dir.)

  Théories des relations internationales : Contestations et résistances

  En plus de décrire l’ampleur de la victoire républicaine aux midterms américaines de 2010

  cet article explique pourquoi les Américains se sont tournés vers le Grand Old Party deux ans à peine après avoir offert le pouvoir à Obama et aux démocrates. Il s’agit également d’évaluer l’impact du scrutin sur les relations entre le Congrès et la présidence ainsi que sur les chances de réélection d’Obama en 2012.

  Le grand retournement : Obama et les midterms de 2010

  L’américanité du Québec est devenue un objet de recherche déterminant puisqu’elle cherche à saisir les transformations et l’évolution des valeurs

  des perceptions et de l’imaginaire des Québécois à travers les influences d’un voisin plus qu’imposant

  à savoir les États-Unis. L’objectif de cet ouvrage s’inscrit autour de ce constat

  mais aussi autour d’un défi : celui de se penser d’abord comme Nord-Américain puis comme francophone et non pas comme le berceau d’une Amérique française ! Les Québécois ne sont plus des Français d’Amérique

  ni des Canadiens français. En ce début de XXe siècle

  ils ont assumé pleinement leur américanité sur le plan économique et politique autant que culturel. Cette reconnaissance que nous sommes d’abord avant tout des Nord-Américains de culture française suscite chez certains un grand frisson identitaire car cette acceptation continentale serait le prélude à un réalignement de la politique extérieure du gouvernement du Québec. Il serait cependant risqué pour nos gouvernements de ne pas prendre le pouls de cette Amérique en pleine transformation

  en particulier à la suite des traités de libre échange avec les États-Unis puis avec le Mexique. Assumer pleinement les défis liés à l’intégration des Amériques et en évaluer constamment les effets sur notre développement économique

  social et culturel

  tel est l’objectif central de ce livre.

  « Les Québécois sont-ils davantage antiaméricains que les Canadiens ? » (par Frédérick Gagnon et Marc Desnoyers) in Guy Lachapelle (dir.)

  Le destin américain du Québec : américanité

  américanisation et anti-américanisme

  Analysant les résultats des midterms américaines de 2014

  cet article répond à trois questions : comment expliquer la victoire républicaine ? Quel sera son impact sur le reste de la présidence Obama ? Et que signifie-t-elle pour le scrutin de 2016 ? L’article illustre que 2014 fut l’élection jumelle des midterms de 2010 à trois titres. D’abord

  les victoires républicaines de 2014 et de 2010 furent occasionnées par des dynamiques et des facteurs semblables (impopularité d’Obama

  difficultés de l’économie

  etc.). Ensuite

  2014 donnera lieu à des relations aussi tendues entre la Maison-Blanche et le Congrès que celles qui ont suivi le scrutin de 2010. Enfin

  tout comme 2010

  2014 indique que le GOP (grand Old Party) a intérêt à se distancier du Tea Party s’il souhaite reconquérir la Maison-Blanche lors des prochaines élections présidentielles.

  La victoire républicaine aux midterms de 2014: peut-on parler d’une vague?

  Frédérick Gagnon est titulaire de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques

  et directeur de l’Observatoire sur les États-Unis à l'Université du Québec à Montréal. Professeur au département de science politique à l’Université du Québec à Montréal où il enseigne la politique intérieure des États-Unis

  il a été récipiendaire d’une bourse Fulbright du département d’État américain pour un séminaire post-doctoral sur la politique américaine à l’Université du Massachusetts à Amherst en 2005. Il a aussi été chercheur invité au Canada Institute du Woodrow Wilson International Center for Scholars à Washington ainsi qu’au Center for American Politics and Citizenship de l’Université du Maryland

  au cours de l’été 2006

  et professeur/chercheur invité à la Western Washington University

  à Bellingham (WA)

  en 2008. Récipiendaire d'une deuxième bourse Fulbright pour l'année 2014-2015

  il a été titulaire d'une Chaire de recherche sur les relations Québec-États-Unis à l'Université de New York à Plattsburgh à l'automne 2014

  et chercheur Fulbright à l'Université de Californie à Berkeley à l'hiver 2015.\n\nIl est l’auteur de l'un des rares ouvrages en français sur le Congrès des États-Unis (Le Congrès des États-Unis

  PUQ

  2006) et de plusieurs chapitres d'ouvrages (dont un texte dans Contemporary Cases in U.S. Foreign Policy

  dirigé par Ralph G. Carter et publié chez CQ Press à Washington D.C. en 2013). Il a aussi publié des articles spécialisés dans plusieurs revues avec comité de lecture (comme Foreign Policy Analysis

  Études internationales

  la Canadian Review of American Studies

  la European Review of American Studies et Politique américaine). Son dernier ouvrage

  paru en 2013

  porte sur l'influence du président de la Commission du Sénat des États-Unis sur les Relations extérieures après 1945.

  Frédérick

  Woodrow Wilson International Center for Scholars

  UC Berkeley

  University of Massachusetts Amherst

  Western Washington University

  Université du Québec à Montréal

  University of Maryland

  Canadian Global Affairs Institute

  SUNY Plattsburgh

  The Canada Institute was founded in 2001 to increase awareness and knowledge about Canada and Canada-U.S. relations among U.S. policymakers and opinion leaders. The Institute currently stands as the only nonpartisan public policy forum in Washington

  D.C.

  the United States—and even Canada—dedicated exclusively to exploring emerging policy issues in one of the most successful and unique bilateral relationships in the world.\n\nThe Canada Institute’s programming strives to foster new thinking among government officials

  academics

  industry

  and other key stakeholders in three core areas: border security

  trade

  and energy and the environment. Additionally

  the Canada Institute organizes private briefings for policymakers

  business executives

  and academic groups

  while releasing publications that bring to the fore positive and critical views of important bilateral issues.\n\nThe Canada Institute is committed to building and strengthening the Canada-U.S. relationship by advancing dialogue and the free flow of ideas on key bilateral issues to help policymakers make more informed policy decisions when addressing shared economic

  environmental

  and security challenges.

  Junior Scholar (Canada Institute)

  Washington D.C. Metro Area

  Woodrow Wilson International Center for Scholars

  The Center for Canadian-American Studies

  in consortium with its counterpart at the University of Washington

  is one of just two US Department of Education National Resource Centers for the Study of Canada. We offer comprehensive interdisciplinary majors and minors for undergraduates

  foster research on Canadian topics

  organize seminars and symposia on current Canada-U.S. public policy issues

  sponsor events highlighting Canadian culture

  and conduct the nationally recognized STUDY CANADA program for K-12 educators.

  Visiting Professor of Québec Studies (Center for Canadian-American Studies)

  Bellingham

  Washington Area

  Western Washington University

  College Park

  MD

  The Center for American Politics and Citizenship (CAPC) addresses major issues of governance today and trains future leaders to grapple with the pressing issues of tomorrow. CAPC provides research

  education

  and outreach to promote an informed and engaged public and more effective and responsive government. CAPC is a nonpartisan

  nonprofit research institution within the Department of Government and Politics of the College of Behavioral and Social Sciences at the University of Maryland.

  Visiting Scholar (Center for American Politics and Citizenship)

  University of Maryland

  Plattsburgh

  New York

  The Institute on Québec Studies at the State University of New York College at Plattsburgh was established in February 2004. Plattsburgh State has a longstanding demonstrated commitment to educating local

  regional

  national and international communities on Québec Studies. The mission statement of the Institute directly reflects this:\n\n\"In recognition of the increasing prominence of Québec in New York

  New England and the wider North American community

  the Institute on Québec Studies at SUNY College at Plattsburgh serves as the gateway institution for the promotion of Québec Studies in the United States. The Institute is committed to the visible development

  expansion and dissemination of Québec Studies among academic

  business and government constituents.\"

  Distinguished Fulbright Chair in Québec Studies (Institute on Québec Studies)

  SUNY Plattsburgh

  Créée en 1996 et située à l'Université du Québec à Montréal

  la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques s'est donné une mission d'analyse

  de formation et de diffusion auprès des universités

  des organismes d'État

  des organisations internationales

  du secteur privé et de la société. Bien que la Chaire Raoul-Dandurand soit rattachée à l'Université du Québec à Montréal et bénéficie de ses services

  elle est une organisation autofinancée qui compte sur le soutien financier de partenaires privés et gouvernementaux.\n\nLa mission de la Chaire\nAnalyser\nStructure d'analyse et développement de la recherche

  la Chaire rassemble une vingtaine de chercheurs permanents et plus de trente chercheurs associés issus de pays et de disciplines divers.\n\nFormer\nStructure de formation

  la Chaire propose des stages et des enseignements dans le cadre des programmes d'études du département de science politique de l'UQAM afin d'initier les étudiants aux grands problèmes politiques contemporains. Elle intègre également chaque année de jeunes chercheurs à ses travaux et les associe à ses programmes de recherche. Enfin

  elle offre aux décideurs et aux entreprises privées des conférences et des formations sur mesure sur les enjeux contemporains des relations internationales. La Chaire Raoul-Dandurand développe une expertise pointue dans les domaines de la politique américaine

  des missions de paix et opérations humanitaires

  de la géopolitique et de la politique au Moyen-Orient et en Afrique du Nord.\n\nDiffuser\nStructure de diffusion de la recherche

  la Chaire transmet son expertise auprès d'universités

  d'organismes d'États

  d'organisations internationales

  du secteur privé et de la société par des publications

  des conférences et des colloques. Au travers de ses interventions médiatiques et de ses publications didactiques

  elle devient une interface entre le monde scientifique et le grand public.

  Titulaire intérimaire de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatique

  Montreal

  Canada Area

  UQAM | Université du Québec à Montréal

  Berkeley

  The Canadian Studies Program at the University of California

  Berkeley is the preeminent U.S.-based program of its kind west of the Rockies. A vibrant academic center since 1982

  it supports research and teaching about Canada and presents intellectually rigorous public programming to deepen understanding of Canada and Canada-US relations. The Program enjoys particular strength on issues of immigration

  the Arctic

  the environment

  energy and native peoples. It also serves as a nexus for Canadians and friends of Canada in the Bay Area and beyond

  including UC Berkeley’s growing population of Canadian students

  as well faculty

  policy-makers

  technology leaders

  and members of the public who seek a “beyond the headlines” analysis of issues in Canada.

  Fulbright Canada Visiting Research Chair and Sproul Fellow (Canadian Studies)

  UC Berkeley

  Amherst

  MA

  The University of Massachusetts Civic Initiative is dedicated to promoting democracy through education in both the U.S. and abroad. Each year

  we bring a select group of students

  scholars

  and professionals from around the world to the UMass Amherst campus for courses that examine modern politics and public policy.\n\nPrograms are designed for attendees to improve their leadership skills

  increase their subject knowledge

  and learn about U.S. culture. Our courses are based on engaging students through active learning

  integrating classroom readings

  lectures

  and discussions with community-based

  collaborative projects that offer practical

  real-life experience.

  Fulbright Grantee (Study of the U.S. Institute on American Politics and Political Thought)

  University of Massachusetts Amherst

  Montreal

  Canada Area

  Créée en 1996 et située à l’Université du Québec à Montréal

  la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques s’est donné une mission d’analyse

  de formation et de diffusion auprès des universités

  des organismes d’État

  des organisations internationales

  du secteur privé et de la société. Bien que la Chaire Raoul-Dandurand soit rattachée à l’Université du Québec à Montréal et bénéficie de ses services

  elle est une organisation autofinancée qui compte sur le soutien financier de partenaires privés et gouvernementaux.\n\nAnalyser\nLa Chaire rassemble une vingtaine de chercheurs permanents et plus de trente chercheurs associés issus de pays et de disciplines divers.\n\nFormer\nLa Chaire propose des stages et des enseignements dans le cadre des programmes d’études du département de science politique de l’UQAM afin d’initier les étudiants aux grands problèmes politiques contemporains. Elle intègre également chaque année de jeunes chercheurs à ses travaux et les associe à ses programmes de recherche. Enfin

  elle offre aux décideurs et aux entreprises privées des conférences et des formations sur mesure sur les enjeux contemporains des relations internationales.\n\nDiffuser\nLa Chaire transmet son expertise auprès d’universités

  d’organismes d’États

  d’organisations internationales

  du secteur privé et de la société par des publications

  des conférences et des colloques. Au travers de ses interventions médiatiques et de ses publications didactiques

  elle devient une interface entre le monde scientifique et le grand public.\n\nL'Observatoire sur les États-Unis de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques de l'UQAM analyse

  depuis 2002

  les débats de société aux États-Unis et la politique étrangère américaine. Il rassemble les experts de la recherche québécoise sur les États-Unis et un réseau international d'américanistes provenant de diverses disciplines.

  Professeur

  Université du Québec à Montréal

  Calgary and Ottawa

  The Canadian Global Affairs Institute is a charitable

  independent

  non-partisan

  research institute with an emphasis on:\n\nCanadian foreign policy\nDefence policy

  and\nInternational aid\n\nWe provide Canadians with factual and comprehensive policy analysis to promote their understanding of Canada’s foreign affairs and aid policies and the state of our military preparedness by developing and sponsoring authoritative research and education programs. The Institute studies these areas through a full range of national and international applications with an emphasis on their economic

  political and social impact on individual Canadians.

  Fellow

  Canadian Global Affairs Institute

  French

  English

  Fulbright Canada Visiting Research Chairs Award

  Fulbright Visiting Research Chairs are intended for Canadian citizens who are exceptional scholars and/or experienced professionals who wish to conduct research and/or lecture in the United States.\nFulbright Canada Visiting Research Chairs are pre-arranged affiliations that allow scholars to conduct research/lecture on subjects important to that university. Partner universities are excited to welcome the Fulbright Visiting Chairs into campus life and encourage them to engage with students

  faculty

  and the broader community. Fulbright Visiting Research Chairs can guest lecture in university courses

  mentor students

  lecture in public venues

  network

  and promote their research

  while representing the Fulbright program

  and their home and host institutions.

  Fulbright Canada

  John A. Sproul Research Fellowship

  The John A. Sproul Fellowship provides modest support for a scholar with interests in Canada who wishes to spend a period of time at Berkeley. One or more Fellows will be selected

  with an award in the range of $7000 - 8000 U.S each for an academic year

  or a lesser amount for a shorter period of time. This is intended as a supplement to other support the scholar may have.\n\nThe Program is proud to support this fellowship in honor of John Sproul. Mr. Sproul

  a retired executive with Pacific Gas Transmission

  is warmly regarded throughout the Berkeley campus for his tireless efforts on behalf of the university. We feel particularly grateful for his long-standing support of the Canadian Studies Program

  and for his efforts as Director emeritus of the Canadian Studies Advisory Board and former co-Chair of the Campaign for Canadian Studies.

  UC - Berkeley (Canadian Studies Program)